Comment l'obésité des chiens et chats affecte leur santé
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Comment l'obésité des chiens et chats affecte leur santé
http://www.lefigaro.fr/assurance/2012/11/29/05005-20121129ARTFIG00492-comment-l-obesite-des-chiens-et-chats-affecte-leur-sante.php
L'obésité des chiens et chats est de plus en plus fréquente. Cela n'est pas systématiquement dû à un problème de qualité d'alimentation, il s'agit plutôt d‘un manque de prise de conscience de la part des maîtres.
A la lumière de différentes études vétérinaires, 40% des chiens et 27% des chats seraient en surpoids.
«Techniquement l'obésité commence à 20% au dessus du poids optimal de l'animal», explique le Dr Géraldine Blanchard, vétérinaire et spécialiste de la nutrition canine. «Avant, on peut parler de surpoids, à ne pas négliger pour autant», poursuit-elle. «Il s'agit d'une réalité à prendre en compte puisque cela réduit l'espérance de vie du chat, comme du chien, de deux ans environ, ce qui reviendrait à quinze ans d'espérance de vie en moins, si on le transposait à l'homme!»
Des plaisirs source de kilos
Les problèmes de poids ont des répercussions sur la santé de l'animal avec des incidences sur de nombreux organes et fonctions: articulations, troubles cardio-vasculaires, respiratoires, et sur leur métabolisme (diabète). Cela peut aussi augmenter le risque de maladies (certains cancers, troubles cutanés…).
Autant de pathologies qui, si elles sont prises en charge par l'assurance santé animale (mutuelle chien et mutuelle chat), peuvent être évitées.
Ne pas priver son compagnon, lui faire plaisir, penser que parce qu'il est «bien portant» il sera plus résistant face à la maladie… sont autant de raisons pour lesquelles les animaux de compagnie connaissent de plus en plus des problèmes de poids.
Selon une étude menée par l'institut BVA pour le compte des jardineries de l'enseigne Gamm Vert, seuls 13% des propriétaires d'animaux ont conscience de l'existence d'un problème de surpoids chez leur chien ou chat alors que 40% de ceux-ci en souffrent.
Les maîtres se voilent la face
L'étude indique en effet que 98% des Français considèrent que leur animal est en bonne santé. Et seuls 2 Français sur 10 avouent qu'on leur a déjà fait une remarque au sujet du poids de leur animal… et seul un peu plus d'un sur 10 (13%) considère que ces remarques sont fondées.
«Il faut éduquer les propriétaires, leur montrer que tout comme un être humain, le chien ou le chat a de réels besoins nutritionnels, variables selon son poids optimal, son âge, son activité - ou son inactivité», préconise le Dr Géraldine Blanchard. «Les maîtres manquent de temps, c'est un facteur indéniable, mais l'on peut trouver des aliments «tout prêts» adaptés et répondant aux besoins de l'animal… et ne pas en donner trop!»
Il faut aussi être vigilant sur les friandises. Plus de la moitié des maîtres en donne à leurs chiens (53%) et plus d'un tiers (34%) au moins une fois par semaine, toujours selon l'étude menée par l'institut BVA . Cela ce constate davantage chez les chiens que chez les chats: les trois quarts des propriétaires de ces derniers n'en donnant jamais.
La prise de poids n'est pas une fatalité! Une fois constatée, et avec l'aide du vétérinaire, il est possible d'entreprendre un régime. Mais cela demande un bon suivi et une réelle implication tant de la part du maître… que de l'entourage.
L'obésité des chiens et chats est de plus en plus fréquente. Cela n'est pas systématiquement dû à un problème de qualité d'alimentation, il s'agit plutôt d‘un manque de prise de conscience de la part des maîtres.
A la lumière de différentes études vétérinaires, 40% des chiens et 27% des chats seraient en surpoids.
«Techniquement l'obésité commence à 20% au dessus du poids optimal de l'animal», explique le Dr Géraldine Blanchard, vétérinaire et spécialiste de la nutrition canine. «Avant, on peut parler de surpoids, à ne pas négliger pour autant», poursuit-elle. «Il s'agit d'une réalité à prendre en compte puisque cela réduit l'espérance de vie du chat, comme du chien, de deux ans environ, ce qui reviendrait à quinze ans d'espérance de vie en moins, si on le transposait à l'homme!»
Des plaisirs source de kilos
Les problèmes de poids ont des répercussions sur la santé de l'animal avec des incidences sur de nombreux organes et fonctions: articulations, troubles cardio-vasculaires, respiratoires, et sur leur métabolisme (diabète). Cela peut aussi augmenter le risque de maladies (certains cancers, troubles cutanés…).
Autant de pathologies qui, si elles sont prises en charge par l'assurance santé animale (mutuelle chien et mutuelle chat), peuvent être évitées.
Ne pas priver son compagnon, lui faire plaisir, penser que parce qu'il est «bien portant» il sera plus résistant face à la maladie… sont autant de raisons pour lesquelles les animaux de compagnie connaissent de plus en plus des problèmes de poids.
Selon une étude menée par l'institut BVA pour le compte des jardineries de l'enseigne Gamm Vert, seuls 13% des propriétaires d'animaux ont conscience de l'existence d'un problème de surpoids chez leur chien ou chat alors que 40% de ceux-ci en souffrent.
Les maîtres se voilent la face
L'étude indique en effet que 98% des Français considèrent que leur animal est en bonne santé. Et seuls 2 Français sur 10 avouent qu'on leur a déjà fait une remarque au sujet du poids de leur animal… et seul un peu plus d'un sur 10 (13%) considère que ces remarques sont fondées.
«Il faut éduquer les propriétaires, leur montrer que tout comme un être humain, le chien ou le chat a de réels besoins nutritionnels, variables selon son poids optimal, son âge, son activité - ou son inactivité», préconise le Dr Géraldine Blanchard. «Les maîtres manquent de temps, c'est un facteur indéniable, mais l'on peut trouver des aliments «tout prêts» adaptés et répondant aux besoins de l'animal… et ne pas en donner trop!»
Il faut aussi être vigilant sur les friandises. Plus de la moitié des maîtres en donne à leurs chiens (53%) et plus d'un tiers (34%) au moins une fois par semaine, toujours selon l'étude menée par l'institut BVA . Cela ce constate davantage chez les chiens que chez les chats: les trois quarts des propriétaires de ces derniers n'en donnant jamais.
La prise de poids n'est pas une fatalité! Une fois constatée, et avec l'aide du vétérinaire, il est possible d'entreprendre un régime. Mais cela demande un bon suivi et une réelle implication tant de la part du maître… que de l'entourage.
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