Santé - Obésité animale : un problème croissant qui touche toute l’Europe
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Santé - Obésité animale : un problème croissant qui touche toute l’Europe
L’obésité animale est un problème croissant dans tous les pays d’Europe mais dont l’incidence tend à être minimisée par les propriétaires qui refusent souvent de voir la vérité en face. Loin d’avoir uniquement des répercussions esthétiques, l’obésité génère de multiples problèmes de santé et doit nécessairement être prise en charge.
L’obésité humaine et animale est un problème qui n’épargne aucun pays d’Europe. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 20 % d’humains obèses en Finlande, quelque 18 % en Grande-Bretagne et environ 7 % en France. 21 % d’animaux en surpoids en France, 16 % en Grande Bretagne et 20 % en Italie.
Pourtant, les personnes tendent à minimiser voire à ignorer ce problème. Une étude a montré que un cinquième des personnes obèses pense que leur poids est correct voire même légèrement inférieur à la normale et la moitié des obèses se croit juste un peu en surpoids.
Défaut de perception
Seul un tiers d’entre eux ont une perception juste de leur état. Ce décalage se retrouve dans la perception de leur animal même lorsque son surpoids est important.
Les chats semblent encore plus touchés par ce problème qui s’étend.
Couplé au manque d’exercice, la suralimentation constitue l’explication principale à ce phénomène par ailleurs multifactoriel (affection concomitante, génétique, mode de vie…).
Les divergences au niveau des comportements sont importantes à travers les différents pays européens. Ainsi les propriétaires britanniques sont 48 % à distribuer régulièrement des friandises à leur animal mais ce comportement ne se retrouve que chez 30 % des propriétaires français.
Prévention précoce
La prévention doit débuter précocement, dès l’adoption du chiot ou du chaton. Elle est généralement initiée par l’éleveur puis par le vétérinaire qui informe les nouveaux propriétaires sur l’importance du suivi des recommandations nutritionnelles et sur les problèmes de santé inhérents à l’obésité.
Problèmes articulaires, cardio-vasculaires mais aussi risque de diabète sont des maladies fréquemment associées au surpoids.
Loin d’être un simple problème esthétique, l’obésité est une réelle maladie et doit faire l’objet d’une prise en charge associant mesures alimentaires et exercice. Le conseil vétérinaire est nécessaire et un traitement médical peut même être initié en cas d’obésité importante.
L’obésité humaine et animale est un problème qui n’épargne aucun pays d’Europe. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 20 % d’humains obèses en Finlande, quelque 18 % en Grande-Bretagne et environ 7 % en France. 21 % d’animaux en surpoids en France, 16 % en Grande Bretagne et 20 % en Italie.
Pourtant, les personnes tendent à minimiser voire à ignorer ce problème. Une étude a montré que un cinquième des personnes obèses pense que leur poids est correct voire même légèrement inférieur à la normale et la moitié des obèses se croit juste un peu en surpoids.
Défaut de perception
Seul un tiers d’entre eux ont une perception juste de leur état. Ce décalage se retrouve dans la perception de leur animal même lorsque son surpoids est important.
Les chats semblent encore plus touchés par ce problème qui s’étend.
Couplé au manque d’exercice, la suralimentation constitue l’explication principale à ce phénomène par ailleurs multifactoriel (affection concomitante, génétique, mode de vie…).
Les divergences au niveau des comportements sont importantes à travers les différents pays européens. Ainsi les propriétaires britanniques sont 48 % à distribuer régulièrement des friandises à leur animal mais ce comportement ne se retrouve que chez 30 % des propriétaires français.
Prévention précoce
La prévention doit débuter précocement, dès l’adoption du chiot ou du chaton. Elle est généralement initiée par l’éleveur puis par le vétérinaire qui informe les nouveaux propriétaires sur l’importance du suivi des recommandations nutritionnelles et sur les problèmes de santé inhérents à l’obésité.
Problèmes articulaires, cardio-vasculaires mais aussi risque de diabète sont des maladies fréquemment associées au surpoids.
Loin d’être un simple problème esthétique, l’obésité est une réelle maladie et doit faire l’objet d’une prise en charge associant mesures alimentaires et exercice. Le conseil vétérinaire est nécessaire et un traitement médical peut même être initié en cas d’obésité importante.
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