Collaboration canine
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Collaboration canine
Les êtres vivants, comme l'humain ou le chien par exemple, ont la caractéristique de pouvoir synthétiser au niveau de leur système nerveux des substances de la famille des endomorphines telle la morphine par exemple, qui permet à l'organisme de lutter contre la douleur.
Chez les molossoïdes et les terriers, cette fonction organique est plus productrice que chez la majorité des autres groupes de chiens; lors de l'éducation, il ne faut surtout pas stimuler cette fonction, qui rendrait le chien insensible à la douleur et avec tous les éventuels dangers liés à la prise de conscience du chie de cette insensibilité.
Ce qu'il faut surtout comprendre et bien interpréter, c'est qu'un chat est un animal qui peut avoir autant de possibilités qu'un chien, seulement un chat est un animal qui refuse d'être asservi par l'homme, et il refuse également de collaborer avec lui, d'où son extrême indépendance avec l'humain, avec qui, par contre, il accepte de cohabiter.
Le chien est un animal qui refuse d'être asservi par l'homme, mais qui accepte de collaborer avec lui, voilà toute la différence.
La coopération s'établit psychologiquement en suivant toutes les données, les idées et les sens de ce programme que chaque éducateur/propriétaire pourra étayer par ses propres subtilités.
C'est pourquoi toutes les formes d'éducation doivent aller dans le sens de la coopération, et non de l'asservissement par de l'extrême autorité, de l'ambivalence, ou l'emploi de la douleur.
Chez les molossoïdes et les terriers, cette fonction organique est plus productrice que chez la majorité des autres groupes de chiens; lors de l'éducation, il ne faut surtout pas stimuler cette fonction, qui rendrait le chien insensible à la douleur et avec tous les éventuels dangers liés à la prise de conscience du chie de cette insensibilité.
Ce qu'il faut surtout comprendre et bien interpréter, c'est qu'un chat est un animal qui peut avoir autant de possibilités qu'un chien, seulement un chat est un animal qui refuse d'être asservi par l'homme, et il refuse également de collaborer avec lui, d'où son extrême indépendance avec l'humain, avec qui, par contre, il accepte de cohabiter.
Le chien est un animal qui refuse d'être asservi par l'homme, mais qui accepte de collaborer avec lui, voilà toute la différence.
La coopération s'établit psychologiquement en suivant toutes les données, les idées et les sens de ce programme que chaque éducateur/propriétaire pourra étayer par ses propres subtilités.
C'est pourquoi toutes les formes d'éducation doivent aller dans le sens de la coopération, et non de l'asservissement par de l'extrême autorité, de l'ambivalence, ou l'emploi de la douleur.
Dernière édition par Christine le Mar 13 Oct - 8:45, édité 1 fois
Re: Collaboration canine
The human being or the dog for example, have the characteristic to be able to synthetize at the level of their nervous system of substances of the family of endomorphines such the morphine for example, which allows the body to fight against the pain.
To molossoïdes and dens, this organic function is more producing than to the majority of the other groups of dogs; during the education, you should not especially stimulate this function, which would return the insensible dog to the pain and with all the possible dangers bound to the awareness of dog of this insensitivity.
What it's especially necessary to understand and indeed to interpret, it's that a cat is an animal which can have so many possibilities as a dog, only a cat is an animal which refuses to be enslaved by the man, and it also refuses to collaborate with him, where from his extreme independence with the human being, with whom, on the other hand, he agrees to live.
The dog is an animal which refuses to be enslaved by the man, but which agrees to collaborate with him, here is all the difference.
The cooperation becomes established psychologically by following all the data, the ideas and the sense of this program which every educator / owner can support by his own subtleties.
That is why all the educational forms have to go to the sense of the cooperation, and not the subjection by the extreme authority, the ambivalence, or the use of the pain.
To molossoïdes and dens, this organic function is more producing than to the majority of the other groups of dogs; during the education, you should not especially stimulate this function, which would return the insensible dog to the pain and with all the possible dangers bound to the awareness of dog of this insensitivity.
What it's especially necessary to understand and indeed to interpret, it's that a cat is an animal which can have so many possibilities as a dog, only a cat is an animal which refuses to be enslaved by the man, and it also refuses to collaborate with him, where from his extreme independence with the human being, with whom, on the other hand, he agrees to live.
The dog is an animal which refuses to be enslaved by the man, but which agrees to collaborate with him, here is all the difference.
The cooperation becomes established psychologically by following all the data, the ideas and the sense of this program which every educator / owner can support by his own subtleties.
That is why all the educational forms have to go to the sense of the cooperation, and not the subjection by the extreme authority, the ambivalence, or the use of the pain.
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