Celtic Oak - Staffordshire Bull terrier - Fila Brasileiro - Cane Corso
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -50%
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX ...
Voir le deal
49.99 €

La douleur

Aller en bas

La douleur Empty La douleur

Message  Christine Mer 18 Nov - 9:27

L'attitude du propriétaire de chien ou de chat face à la douleur de son animal

Les propriétaires d’animaux familiers se sentent souvent démunis face à la maladie et la souffrance de leur compagnon. Il peut être utile de se poser certaines questions afin de se préparer à cette éventualité, qui malheureusement se produit tôt ou tard.

Lorsque l’animal change de comportement, ne joue plus, est abattu, lorsqu’il gémit, que son appétit diminue ou qu’il ne mange plus, qu’il reste prostré sur sa couche, le maître doit avoir le réflexe de le conduire au plus vite chez son vétérinaire.

Les soins éventuellement prescrits par celui-ci seront effectués scrupuleusement, avec patience et douceur, mais sans être excessif dans l’attention que l’on porte à l’animal souffrant. Mieux vaut lui apporter réconfort et soins adaptés plutôt que tenter de partager sa détresse, car souffrir avec lui n’arrange et ne réduit en rien sa douleur. Au contraire, vouloir veiller sur lui en permanence dramatise encore plus une situation déjà difficile et risque de le conforter dans un état de dépendance envers vous.



Ayant réussi à capter toute votre attention, votre compagnon pourrait décider de continuer à geindre sans raison pour que les sollicitudes à son égard se prolongent. Si l’animal qui souffre se trouve dans une famille avec enfants, les parents conseilleront à ces derniers de laisser l’animal se reposer au calme, de jouer plus loin et ne pas le solliciter pour des jeux. Ils leur expliqueront aussi que les caresses trop appuyées pourraient déclencher chez lui une douleur. L’animal ayant une réaction de défense pourrait alors mordre ou donner des coups de griffes.

Lorsque l’animal aimé souffre de façon persistante malgré les traitements, que tout espoir de guérison s’amenuise, le maître se pose forcément la question d’abréger son calvaire.

Cette grave décision ne peut être prise qu’en concertation avec le vétérinaire. Elle ne doit être arrêtée que dans le seul intérêt de l’animal et jamais pour convenance personnelle.


Article écrit par Laurence Bruder Sergent
Christine
Christine
Admin

Messages : 27917
Date d'inscription : 06/11/2008
Age : 53
Localisation : Plus tu t'en fout, plus tu seras heureux !

http://www.celticoak-chiens-de-france.com

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum