La douleur
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La douleur
L'attitude du propriétaire de chien ou de chat face à la douleur de son animal
Les propriétaires d’animaux familiers se sentent souvent démunis face à la maladie et la souffrance de leur compagnon. Il peut être utile de se poser certaines questions afin de se préparer à cette éventualité, qui malheureusement se produit tôt ou tard.
Lorsque l’animal change de comportement, ne joue plus, est abattu, lorsqu’il gémit, que son appétit diminue ou qu’il ne mange plus, qu’il reste prostré sur sa couche, le maître doit avoir le réflexe de le conduire au plus vite chez son vétérinaire.
Les soins éventuellement prescrits par celui-ci seront effectués scrupuleusement, avec patience et douceur, mais sans être excessif dans l’attention que l’on porte à l’animal souffrant. Mieux vaut lui apporter réconfort et soins adaptés plutôt que tenter de partager sa détresse, car souffrir avec lui n’arrange et ne réduit en rien sa douleur. Au contraire, vouloir veiller sur lui en permanence dramatise encore plus une situation déjà difficile et risque de le conforter dans un état de dépendance envers vous.
Ayant réussi à capter toute votre attention, votre compagnon pourrait décider de continuer à geindre sans raison pour que les sollicitudes à son égard se prolongent. Si l’animal qui souffre se trouve dans une famille avec enfants, les parents conseilleront à ces derniers de laisser l’animal se reposer au calme, de jouer plus loin et ne pas le solliciter pour des jeux. Ils leur expliqueront aussi que les caresses trop appuyées pourraient déclencher chez lui une douleur. L’animal ayant une réaction de défense pourrait alors mordre ou donner des coups de griffes.
Lorsque l’animal aimé souffre de façon persistante malgré les traitements, que tout espoir de guérison s’amenuise, le maître se pose forcément la question d’abréger son calvaire.
Cette grave décision ne peut être prise qu’en concertation avec le vétérinaire. Elle ne doit être arrêtée que dans le seul intérêt de l’animal et jamais pour convenance personnelle.
Article écrit par Laurence Bruder Sergent
Les propriétaires d’animaux familiers se sentent souvent démunis face à la maladie et la souffrance de leur compagnon. Il peut être utile de se poser certaines questions afin de se préparer à cette éventualité, qui malheureusement se produit tôt ou tard.
Lorsque l’animal change de comportement, ne joue plus, est abattu, lorsqu’il gémit, que son appétit diminue ou qu’il ne mange plus, qu’il reste prostré sur sa couche, le maître doit avoir le réflexe de le conduire au plus vite chez son vétérinaire.
Les soins éventuellement prescrits par celui-ci seront effectués scrupuleusement, avec patience et douceur, mais sans être excessif dans l’attention que l’on porte à l’animal souffrant. Mieux vaut lui apporter réconfort et soins adaptés plutôt que tenter de partager sa détresse, car souffrir avec lui n’arrange et ne réduit en rien sa douleur. Au contraire, vouloir veiller sur lui en permanence dramatise encore plus une situation déjà difficile et risque de le conforter dans un état de dépendance envers vous.
Ayant réussi à capter toute votre attention, votre compagnon pourrait décider de continuer à geindre sans raison pour que les sollicitudes à son égard se prolongent. Si l’animal qui souffre se trouve dans une famille avec enfants, les parents conseilleront à ces derniers de laisser l’animal se reposer au calme, de jouer plus loin et ne pas le solliciter pour des jeux. Ils leur expliqueront aussi que les caresses trop appuyées pourraient déclencher chez lui une douleur. L’animal ayant une réaction de défense pourrait alors mordre ou donner des coups de griffes.
Lorsque l’animal aimé souffre de façon persistante malgré les traitements, que tout espoir de guérison s’amenuise, le maître se pose forcément la question d’abréger son calvaire.
Cette grave décision ne peut être prise qu’en concertation avec le vétérinaire. Elle ne doit être arrêtée que dans le seul intérêt de l’animal et jamais pour convenance personnelle.
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