Moins d'obésité, plus de souffle

En dehors de la cohorte de maladies qui l'accompagnent, l'obésité, qui concernerait 20 à 40 % des chiens dans les pays développés, a également pour effet de gêner l'activité physique, pourtant préconisée dans un tel état, ce qui entretient un cercle vicieux . Les chiens obèses ont en effet plus de mal à se déplacer en raison de douleurs articulaires mais aussi d'une fonction cardiaque moins performante. Une étude a montré que des chiens obèses qui maigrissaient et retrouvaient un poids de forme retrouvaient du même coup un fonctionnement cardiaque améliorée, ce qui leur permet de reprendre une activité physique normale. Cette étude souligne ainsi l'intérêt d'une activité physique modérée au cours de la phase au cours de la phase d'amaigrissement des chiens.

Source : article paru dans l'Essentiel n°164 du 11 Février 2010