LA VERITABLE HISTOIRE DE BOB THE ENGLISH BULLDOGGE
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LA VERITABLE HISTOIRE DE BOB THE ENGLISH BULLDOGGE
La véritable histoire de Bob le Bouldogue. Speciale dédicace à Christine et Brian.
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Bob arrive dans la famille par une fin d’après midi pluvieuse de novembre, dans la poche de l’imperméable de Pascal, il a environ 10 jours, et nous sommes dans les année 30.
Bob a été offert a mon père par son copain Eugene Oger.
Ah le père Oger, il aime les beaux animaux, il a les plus belles vaches, les plus beaux cheveaux, les plus beaux chiens de la région. En particulier un Pointer qui fait merveille pour chasser les cailles dans les chaumes, et un couple de Bouldogue Anglais.
Bob, nourrit au biberon, grandit rapidement en force, mais pas en sagesse. Il est aussi large que haut, un bloc de béton. Par dessus tout, il aime sa famille, je devrais dire son clan, mais il n’aime que son clan, la famille élargie en quelque sorte. Pour le reste il est intraitable.
Il trone dans le magasin sur la balance à bascule, parmis les futs d’huile d’olive, les sacs de café vert, les pains de sucres emballés dans leurs papiers bleus, il n’ a l’air de rien, mais il à l’oeil à tout. Jamais personne n’ose chaparder une poignée de datte ou de cacahuète.
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !
Bob arrive dans la famille par une fin d’après midi pluvieuse de novembre, dans la poche de l’imperméable de Pascal, il a environ 10 jours, et nous sommes dans les année 30.
Bob a été offert a mon père par son copain Eugene Oger.
Ah le père Oger, il aime les beaux animaux, il a les plus belles vaches, les plus beaux cheveaux, les plus beaux chiens de la région. En particulier un Pointer qui fait merveille pour chasser les cailles dans les chaumes, et un couple de Bouldogue Anglais.
Bob, nourrit au biberon, grandit rapidement en force, mais pas en sagesse. Il est aussi large que haut, un bloc de béton. Par dessus tout, il aime sa famille, je devrais dire son clan, mais il n’aime que son clan, la famille élargie en quelque sorte. Pour le reste il est intraitable.
Il trone dans le magasin sur la balance à bascule, parmis les futs d’huile d’olive, les sacs de café vert, les pains de sucres emballés dans leurs papiers bleus, il n’ a l’air de rien, mais il à l’oeil à tout. Jamais personne n’ose chaparder une poignée de datte ou de cacahuète.
HG- The Oaks
- Messages : 446
Date d'inscription : 29/08/2009
Localisation : LE THOLONET
Re: LA VERITABLE HISTOIRE DE BOB THE ENGLISH BULLDOGGE
Dans ce petit village perdu de l’Algerie de papa, les gens se préocupent surtout de leur travail et de leur survie, alors les chiens !!!
La pluspart d’entre eux sont en liberté, vont et viennent à leur guise, mais tous absolument tous savent qu’il ne faut pas zoner sur le territoir de Bob sous peine de perdre la vie.
Faut dire que Bob est un sacré gladiateur, féroce et intrétable,une technique de combat imparable, tel un belier furieux il fonce sur son malheureux adversaire, un choc formidable de son large poitrail, et le voilà déjà suspendu à la gorge du provocateur. Bob n’égorge pas, il étrangle, étouffe sans un cri, sans grondement, sans bruit, au coin de la rue, devant le portail ou derrière l’église. Ensuite il retoure se coucher sur sa balance à bascule, le museau entre les pattes, mine de rien, il surveille son petit monde d’un œil torve sans remords ni scrupules.
La jeune secétaire de mairie passe tous les matins de l’autre coté de la rue, si d’aventure Bob a un petit creux, nonchalament il lui barre le chemin, et elle, terrorisée lui donne son petit quatre heure. Mais il n’exagère pas, il ne le fait pas tous les jours, deux ou trois fois par semaine pas plus.
Les voisins les plus proche ont peur de lui il le sait bien. Pour cuisiner un plat qu’ils savent etre apprecié par Bob ils bouclent la porte à double tour, mais Bob n’est pas tombé de la derniere pluie, il gratte à leure porte avec insitance sans jamais aboyer, impressionés, ayant peur d’une hypotetique vengeance, les voisins finissent par ouvrir et lui offrir une bonne assiette de son plat favori, en le felicitant de son bel appétit.
Mais les choses ne sont toujours aussi roses, Bob a horreur qu’on chaparde dans la cour ou se trouvent les nombreuses remises et les reserves, aussi il mord deux ou trois persones par mois.Mon oncle, le frère de Pascal est seul médecin à des kilometres à la ronde, les soigne gratuitement pas securité sociale à l’époque. Malgrés les excuses et les soins gratuits, les gens se plaignent au maire du village, finalement le maire intevient, il faut se debarasser de Bob.
Bob est donné à culivateur pour surveiller sa propriété, et garder son poulailler car les chacals y font carnage. Quatre vingts kilometres dans la petite camionette, une heure et demi de route. Quinze jours plus tard, le cultivateur vient au magasin pour s’aprovisiner, tout le monde se precipite pour avoir des nouvelles du chien.
- dommage j’ai pas pu le tuer
- le tuer mais pourquoi ?
- je l’avais enfermé dans la bergerie, et dans la nuit il a égorgé deux brebis et étranglé un âne, tu te rend compte !
- et tu as voulu le tuer
- oui, le temps aller chercher mon fusil, il avait filé.
Mais l’histoire ne s’arrète pas là.
Un mois plus tard, Bob entre dans le magasin et va s’installer sur sa blance à bascule comme si rien ne s’etait passé.
La nouvelle fait le tour du village, tout le monde veut voir LE CHIEN.
Le soir même il a à moitié étranglé le dogue du boucher, cinéma habituel seau d’eau froide, torsion des testicules, rien n’y fait. Pascal à reussi a lui faire lacher prise en introduisant une barre de fer dans sa gueule pour faire levier. Le pauvre dogue a déjà les yeux révulsés, il revient de loin.
Pour nous, Bob reste exemple de courage, de fidélité mais aussi de férocité. Soixante dix ans apres toute la famille connais son histoire, même les plus jeunes.
Quand je pense à toi Bob, je suis un peu ému.
Dix ans déjà que Pascal t’a rejoins, alors veille encore sur lui.
La pluspart d’entre eux sont en liberté, vont et viennent à leur guise, mais tous absolument tous savent qu’il ne faut pas zoner sur le territoir de Bob sous peine de perdre la vie.
Faut dire que Bob est un sacré gladiateur, féroce et intrétable,une technique de combat imparable, tel un belier furieux il fonce sur son malheureux adversaire, un choc formidable de son large poitrail, et le voilà déjà suspendu à la gorge du provocateur. Bob n’égorge pas, il étrangle, étouffe sans un cri, sans grondement, sans bruit, au coin de la rue, devant le portail ou derrière l’église. Ensuite il retoure se coucher sur sa balance à bascule, le museau entre les pattes, mine de rien, il surveille son petit monde d’un œil torve sans remords ni scrupules.
La jeune secétaire de mairie passe tous les matins de l’autre coté de la rue, si d’aventure Bob a un petit creux, nonchalament il lui barre le chemin, et elle, terrorisée lui donne son petit quatre heure. Mais il n’exagère pas, il ne le fait pas tous les jours, deux ou trois fois par semaine pas plus.
Les voisins les plus proche ont peur de lui il le sait bien. Pour cuisiner un plat qu’ils savent etre apprecié par Bob ils bouclent la porte à double tour, mais Bob n’est pas tombé de la derniere pluie, il gratte à leure porte avec insitance sans jamais aboyer, impressionés, ayant peur d’une hypotetique vengeance, les voisins finissent par ouvrir et lui offrir une bonne assiette de son plat favori, en le felicitant de son bel appétit.
Mais les choses ne sont toujours aussi roses, Bob a horreur qu’on chaparde dans la cour ou se trouvent les nombreuses remises et les reserves, aussi il mord deux ou trois persones par mois.Mon oncle, le frère de Pascal est seul médecin à des kilometres à la ronde, les soigne gratuitement pas securité sociale à l’époque. Malgrés les excuses et les soins gratuits, les gens se plaignent au maire du village, finalement le maire intevient, il faut se debarasser de Bob.
Bob est donné à culivateur pour surveiller sa propriété, et garder son poulailler car les chacals y font carnage. Quatre vingts kilometres dans la petite camionette, une heure et demi de route. Quinze jours plus tard, le cultivateur vient au magasin pour s’aprovisiner, tout le monde se precipite pour avoir des nouvelles du chien.
- dommage j’ai pas pu le tuer
- le tuer mais pourquoi ?
- je l’avais enfermé dans la bergerie, et dans la nuit il a égorgé deux brebis et étranglé un âne, tu te rend compte !
- et tu as voulu le tuer
- oui, le temps aller chercher mon fusil, il avait filé.
Mais l’histoire ne s’arrète pas là.
Un mois plus tard, Bob entre dans le magasin et va s’installer sur sa blance à bascule comme si rien ne s’etait passé.
La nouvelle fait le tour du village, tout le monde veut voir LE CHIEN.
Le soir même il a à moitié étranglé le dogue du boucher, cinéma habituel seau d’eau froide, torsion des testicules, rien n’y fait. Pascal à reussi a lui faire lacher prise en introduisant une barre de fer dans sa gueule pour faire levier. Le pauvre dogue a déjà les yeux révulsés, il revient de loin.
Pour nous, Bob reste exemple de courage, de fidélité mais aussi de férocité. Soixante dix ans apres toute la famille connais son histoire, même les plus jeunes.
Quand je pense à toi Bob, je suis un peu ému.
Dix ans déjà que Pascal t’a rejoins, alors veille encore sur lui.
HG- The Oaks
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